France, 1907 : En lui-même, considéré isolément, indépendamment d’autres causes.
L’acte sexuel étant, in abstracto, un acte parfaitement naturel et commandé même par la morale en vue de la procréation et de la reproduction des hommes, ne saurait être en lui-même une mauvaise action. Ce ne peut donc jamais être qu’un mal très relatif ; si relatif que si tel époux trompé le considère comme une infamie, tel autre au contraire n’en ressentira pas le moindre ombrage.
Très fantaisiste ce délit qui existe ou n’existe pas selon le plus où moins de susceptibilité de l’époux victime.
(M. Chansa, président du tribunal civil de Foix)